Monsieur Pistache
Bonjour, je m’appelle Pistache, j’aboie et je remue la queue. Je sais aussi donner la patte, mais je peux faire le beau pour avoir un gâteau. Mais ce que je préfère, c’est surtout les longues promenades que je fais le dimanche accompagnée de mes petits maîtres.
Le matin, j’adore sauté sur le lit pour les réveiller. Ou si cela ne suffit pas, je le leur fais une toilette en les léchant de plus en plus. Ils finissent par se lasser et se lèvent en me faisant une caresse.
Une fois tout ce petit monde levé, monsieur Pistache décide de laisser ses maîtres déjeuner tranquille et se dirige vers la salle de bains.
« Tiens, ce matin je vais prendre un bon bain. Il y a longtemps que je n’ai pas jouer avec mon petit canard en plastique. »
Il fait couler l’eau, met de la mousse, se déshabille et fini par entrer dans la baignoire.
« Oh là, là, l’eau est beaucoup trop chaude ! »
« Au secours, ça brûle ! »
Le voilà qui sort d’un bond de la baignoire.
« Oh, là, là, je crois que je me suis brûler la patte. Je vais mettre de l’eau froide avant d’entrer de nouveau dedans. »
Une fois, l’eau à bonne température, le voila qui entre dans l’eau.
« Hum, ah ! C’est tout de même agréable de prendre un bon bain. »
Le bain terminé, monsieur Pistache décide de se préparer pour une petite promenade en voiture.
La promenade commence par un petit sentier dans les bois. La voiture s’arrête et en route pour la cueillette des champignons. Plus monsieur Pistache avance dans la forêt, plus il y avait de choses à ramasser. Une fois la promenade terminée, le panier était rempli de bonnes choses à manger. Il débordait de toutes sortes de denrées aussi
délicieuses les unes que les autres.
Soudain, un champignon saute brusquement du panier:
« Ah ça par exemple, s’il croit que je vais finir en omelette, monsieur Pistache peut courir vite. Cela n’arrivera jamais!! »
Le champignon décide de se cacher sous une branche de peuplier. Peut-être aurait-il la chance d’avoir la vie sauve.
Le champignon s’était cacher et tremblait de tous ses membres tant il avait peur d’être transformé en omelette.
« Oh, là, là pourvu qu’il ne me trouve pas… Sinon, je peux dire adieux la vie et bonjour le monde des couteaux, fourchettes
écrit par Sophie Rabussier
Tous droits réservés.
2010
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