Voici ma participation pour le défis de la communauté : la main tendue:

Les loups

Petit loup

Il était une fois, un loup, qui aime l’aventure. Ses amis et sa famille le surnomment «　petit Loup　». Petit Loup, parce qu’il est si petit, que parfois il passe inaperçu. Lui qui aimerait tant qu’on le voit. Il est toujours en train de jouer, et adore les nouveautés. Petit Loup, ne manque pas d’imagination. Quelquefois, il est même très difficile de le suivre. Un jour, alors qu’il faisait beau, il a une idée:

«　Tiens, je vais faire le ménage !　»

« Depuis le temps que je n’ai rien fait, il doit y avoir des toiles d’araignées.　»

Petit Loup, s’approche prudemment ne sachant pas ce qu’il va trouver.

«　Oh là, ça sent très mauvais ici, heureusement que j’arrive avec mon seau et mon balai !　»

«　Retroussons les manches, et au travail !　»

«　Ce n’est pas le moment de faiblir, il n’y a pas le temps !　»

«　Oh, je ne pourrais jamais faire tout cela en une journée. Il va me falloir des mois, pour remettre cette maison en ordre !　»

Tout à coup, alors que Petit Loup, va chercher le matériel nécessaire pour commencer le ménage, il entend du bruit.

Le tapis rangé dans le placard, pleure à chaudes larmes:　«Pitié ! Ne me laissez pas tout seul dans le noir, dans ce maudit placard !　»

«　Laissez-moi sortir de là, j’étouffe !　»

Étonné d’entendre du bruit, Petit Loup se dirige vers le placard et l’ouvre précipitamment.

«　 Mais enfin, que se passe-t-il ici ?　»*

«　 Je ne veux pas rester seul !　»

Monsieur le tapis a du mal à l’avoué, mais il a peur du noir !

«　Qu’est-ce que tu as ?　»

«　 Tu as peur du noir ?　»

Petit Loup, regarde Monsieur le tapis qui lui dit timidement:

«　Euh, eh bien oui !　»

«　Et alors, ce n’est rien. Il suffit simplement de le dire, tu sais il n’y a pas de honte d’avouer ses faiblesses. Tout le monde en a !

Monsieur le tapis était plus rassuré.

Il fini par sortir de son placard tout fier, et dit:　«Eh bien, dorénavant je n’aurais plus jamais peur du noir.»

Histoire écrite par Sophie Rabussier

Tous droits réservés

2010

Voici ma participation au défis de la communauté : La main tendue

Madame ça suffit

Il était une fois une dame qui s’appelait Lucie. Elle aimait observer le monde et écouter le silence. Il la ressourçait comme elle disait. Un après-midi ensoleillé, alors qu’elle se promenait dans la forêt, un défilé de motards arrive. Ils faisaient tellement de bruit, qu’il lui était difficile de rester. Lucie ne supportait pas. Il recouvrait le charmant petit gazouillis des oiseaux. Elle était de plus en plus énervée. Tout à coup, sa mauvaise humeur prend le dessus et Lucie se met à crier:

«　Oh, ça suffit ! On ne s’entend même plus respirer, zut alors !　»

Les motards faisaient un tel vacarme, qu’ils ne l’avaient pas entendu. Alors, elle décide d’employer les grands moyens. La voilà qui part et revient quelques instants plus tard accompagner de «　son sac four tout　»

A l’intérieur, on pouvait y trouver de tout !la voilà qui sort

sa trompette et met à souffler aussi fort qu’elle pouvait «　Tut……　»

Tout à coup, les oiseaux arrivent étonnés d’avoir autant de bruit. Surtout de voir que Lucie s’y mettait aussi.

«　Eh, bien alors Lucie que t’arrive t-il ?　»

«　Tu n’es pas si bruyante d’habitude !　»

«　Que se passe-t-il　»

«　J’en ai assez ! Je ne supporte plus leur vacarme !　»

«　Il ne faut pas te fâcher !　»

«　Encore moins te mettre à pleurer. Ça ne vaut pas le coup !　»

«　Vas simplement leurs dire et l’affaire sera réglée.　»

«　Bon, j’y vais de ce pas !　» *

«　Bonjour messieurs les motards, dites pourriez-vous faire un peu moins de bruit s’il vous plaît ?　»

«　Pardonnez nous, nous ne pensions pas que cela pouvais vous gênez. Dans ce cas, nous irons plus loin.　»

Et les voici partis à la recherche d’un autre coin.

Quand soudain, alors que Lucie avait retrouvé son calme voici un cultivateur qui passe avec un troupeau de vaches.

«　Meuh, Meuh….　»

«Oh, là, là, ce n’est pas vrai !　»

«　Ça recommence, décidément, j’en ai assez de tout ce bruit　»

Avant que Lucie ait eu le temps de finir sa phrase, les oiseaux se mettent à crier.

«　Ah non, tu ne vas pas recommencer. Ça suffit !!!　»

écrit par Sophie Rabussier

Tous droits réservés

2010

La petite musicienne

Il était une fois une petite fille qui s’appelait Floriane et qui ne marchait pas.

Elle passait tout son temps, dans un fauteuil roulant.

Floriane, ne pouvait pas vivre comme les autres petites filles de son âge.

Les copines qu’elle avait, pouvaient courir, sauter à la corde, danser, mais pas elle.

Le seul plaisir qui pouvait la distraire, était la musique.

Celle-ci avait un don, c’était une excellente musicienne.

Tous les instruments qu’elle avait entre les mains, celle-ci en jouait à merveille.

Ses parents et sa famille, avaient espoir que Floriane remarcherait un jour.

Puis, un jour Floriane devait donner un concert de piano.

Le jour arrive, et le concert eut lieu comme prévu, et celui-ci était superbe.

Tout le public était émerveillé par le don de Floriane.

C’était vraiment une virtuose.

Puis un miracle se produit, Floriane avait libéré ses sentiments dans la musique, et elle se lève de son fauteuil roulant pour saluer son public.

Le pari était gagné Floriane avait réussi à marcher grâce à la musique.

Toute la famille était soulagée de voir leur fille enfin libérée de cette sacrée maladie, et pouvait enfin vivre comme toutes les petites filles de son âge.

Le 03.03.09

Sophie Rabussier
tous droits réservés
2010

Sacré bonhomme

Il était une fois, un petit bonhomme. Il a sans cesse le sourire à la bouche. Toujours une parole agréable. Pas le moindre geste de mauvaise humeur. Il est apprécié de tous. Les jours sans lui, paraissent interminables. Il respire la joie de vivre. Sacré bonhomme court tout le temps. Quand un matin, malheur ! Il ne peut pas se lever. Lui qui est si matinal d’habitude, là, impossible de mettre un pied à terre.

«　 Mais, enfin, que m’arrives-t-il ? Je n’ai aucun problème pour y parvenir d’habitude !　»

«　Il faut que je remédie à cela !　»

«　Soit je me fais vieux, ou alors je suis malade !　»

«　Foi de petit bonhomme, je vais tout de même retenter le coup !　»

Il retente une seconde foi, impossible ! Cette fois-ci, ses pieds le brûlent. Pas question d’en poser un par terre. Quand aux deux…… N’en parlons pas, ce n’est pas la peine d’y penser !

Petit Bonhomme à mal…… très mal !

«　Ouille, ouille, ouille ! J’ai très mal !　»

«　Mais que se passe t-il enfin, pour que la douleur soit si forte, ils me fassent si mal !　»

Quand tout à coup, on frappe à la porte.

«　Toc, toc　»

« Ah, c’est bien ma veine ! Juste aujourd’hui que j’ai des problèmes pour marcher !»

Il se déplace comme il peut pour aller ouvrir la porte.

Il marche très lentement. Si doucement, que son amie est très étonnée de ne pas le voir se précipiter à sa venue. 　

«　Mais que t’arrives-t-il mon pauvre petit bonhomme ?　»

«　Je ne sais pas ! Depuis que je me suis levé ce matin, c’est comme cela ! Je suis mou, je n’arrive à rien !　»

«　C’est bizarre ! Tu devrais aller voir le médecin, tu es peut-être fatigué !　»

«　Tu as peut-être raison, je m’y rends de ce pas !　»

Il arrive chez le médecin, celui-ci le reçoit aussitôt et l’examine. Il l’écoute respirer, question cœur tout va bien. Aucun problème. Il le fait marcher, il le trouve un peu lent. Il engage une conversation avec lui, aucun problème. Il résonne bien.

«　Non, vraiment ! Moi, je ne trouve aucun problème.　»

Soudain, il a une idée:　«Quel âge avez-vous mon cher ?»

«　Euh, je vais bientôt avoir quarante ans pourquoi ?　»

«　Ça y est ! Ne chercher plus, j’ai trouvé ce que vous avez ! Ce n’est pas grave du tout ! Vous êtes tout simplement en pleine crise de quarantaine !　»

«　Mais, je vous rassure, cela passe très vite ! »

«　Le seul conseil que je peux vous donner, c’est en profiter le maximum que vous pourrez.　»

Sacré bonhomme écoute le docteur très attentivement, et décide de suivre ses conseils à la lettre.

«　Puisque je ne suis pas malade, j’ai décidé de faire tout ce dont j’ai envie !　»

«　Je vais faire des voyages, rencontrer une charmante petite femme, et faire une vie de famille. Je lui ferais découvrir le bonheur d’une vie à deux. Pour finir, j’irais à la découverte du monde entier. Voilà beaucoup de projets, je ne trouverais pas le temps long avec eux.　»

Sacré bonhomme est très heureux, il a pleins de projets en court. 　

Histoire écrite par Sophie Rabussier

Tous droits réservés

2010

Jeff le cuisinier

C ’est l’histoire d’un petit cochon qui s’appelle Jeff. Depuis tout petit il n’a qu’un rêve, devenir cuisinier. Il est très doué pour la cuisine. Les repas, il n’en a préparé uniquement qu’aux amis, et la famille. Dans l’avenir, il ne compte pas en rester là. Il aimerait bien, ouvrir un restaurant. Mais pour le début, il va vous faire goûter sa nouvelle cuisine.

«　Aujourd'hui, je vais vous faire un poulet.　»

Jeff prend le poulet, l 'arrange avec des aromates, des tomates qu’il arrange à la perfection, Jeff s’en donne à cœur joie. Les couteaux, les poêles, les saladiers tout bougeait dans la cuisine de «　Jeff le cuisinier　»

«　Bon aujourd’hui, ce n est pas le moment de faiblir mes amis　» 　dit-il aux couverts.　

«　Nous recevons le prince et la princesse Tartausse　»

Le voilà qui s’active dans la cuisine, à préparer le repas. C’est un jour exceptionnel aujourd’hui. Il a le trac, ce n’est pas tous les jours que l’on reçoit le prince et la princesse Tartausse. Tout dois être parfait. Jeff a le trac, c’est la première fois pour lui, qu’il reçoit des personnalités dans son restaurant.

«　Oh, là, là, j’ai le trac, c’est la première fois que je reçois des personnalités. Je joue l’avenir de mon restaurant. 　»

L’heure avance. Quand soudain, on frappe à la porte:　«Toc, toc　»

«　Oui, entrez !　»

Les invités sont là, Jeff ne peut plus reculer. Il panique. Rien n’est encore prêt, il reste encore beaucoup de travail. Quand soudain, Jeff entend du bruit dans la cuisine. Les couverts s’agitent, le poulet s’envole et les légumes s’épluchent tous seuls. En un minimum de temps, un repas succulent est prêt. Jeff n’en revient pas. La situation est saine et sauve. Un repas succulent, attend les invités.

Les invités arrivent, Jeff fait passer tout le monde à table. En entrée, il y avait une chiffonnade de parme au gorgonzola. En plat principal, du jambon au chablis les attendaient avec un gratin de pommes de terre et pour finir en dessert une délicieuse forêt noire. Jeff est ravi, pour le moment, tout se passe à merveille. Le prince et la princesse sont ravis. Quand soudain la princesse croque un morceau de forêt noire et malheur. Elle se casse une dent. La pauvre princesse perd une dent dans la forêt noire. Le prince n’en revient pas.

«　Je ne comprends pas, je pensais qu’à mon âge, j’avais perdu toutes mes dents !　»

  Histoire écrite par Sophie Rabussier

Tous droits réservés

2010