Karine va à l’école
Aujourd’hui, Karine fait sa première rentrée à l’école maternelle. Un matin, sa maman la réveille comme tous les jours et lui dit:
- Allez ma chérie, il faut se réveiller, c’est le grand jour tu vas connaître ta nouvelle école, où tu auras une maîtresse et des copains, copines.
La petite Karine se lève sans difficultés, et va rejoindre sa maman pour prendre son petit déjeuner.
- tu sais si la maîtresse est gentille maman ?
La maman voit que sa fille commence à avoir peur dès la 1ère journée de classe même pas encore commencée, décide de la rassurée en lui disant:
- tu sais ma chérie, tu n’as pas à avoir peur, les maîtresses sont toutes gentilles.
La petite part heureuse et rassurée de ce que lui a dit sa maman.
Karine arrive à l’école en compagnie de sa maman et sa petite sœur et fait la connaissance de sa maîtresse et sa nouvelle école ainsi que ses copains et copines.
Sa maman lui demande:
- Elle te plait ta nouvelle école Karine ?
- Oui, répond-t-elle sur air timide.
Elles regardent toutes les trois les coins jouets, et ce qu’il plaît beaucoup à Karine, c’est qu’il y avait un grand coin avec des poupées et beaucoup de dînette.
Elle veut bien rester à l’école et la maman la laisse en compagnie de sa maîtresse et ses copines.
Puis elle rentre chez elle en compagnie de la petite Sophie qui elle est très loin d’avoir l’âge d’aller à l’école pour l’instant.
La 1ère journée de Karine se passe sans problème. La maîtresse lui fait faire de la peinture, Karine adore ça. Elle chante des chansons avec les copines. Le seul problème présent est que Karine n’aime pas qu’on l’embête. Le poing et les pieds sont souvent de sorties.
Puis, arrive l’heure de la récréation, la maîtresse sort tout ce petit monde qui en avait bien besoin dans la cour.
Karine est contente, elle adore ça. Il y a des ballons, des vélos et une balançoire. Tout ce qui plait à Karine.
Elle monte sur la balançoire et se balance tranquillement. Quand tout à coup, une copine qui s’appelle Camille arrive pour lui prendre la balançoire.
- tu me prêtes la balançoire, s’il te plait Karine ?
Karine qui n’a pas l’air décider réfléchit et lui répond:
- je veux bien, mais à une condition, c’est que tu me fasses un bisou, pour la peine que je te l’ai prêté.
Camille ne veut pas faire un bisous à Karine, car une fille ça n’en embrasse pas une autre.
Alors Karine continue à se balancer tranquillement. Pendant ce temps là, Camille est allée chercher un jouet dans la classe et dit à Karine :
-Si tu me prêtes la balançoire, je te prête mon jouet.
Karine qui était très intéressée par ce jouet accepte l’échange.
Les deux filles échangent donc leur jouet sans se disputer.
Mais cette balançoire a quelque chose de bizarre, elle est magique.
écrit par Sophie Rabussier
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2010
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