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16 mars 2015 1 16 /03 /mars /2015 09:31

Tempête et les balles à grelot

Bonjour, c’est moi Tempête. Je suis de nouveau de retour, mais cette avec une nouvelle aventure qui m’est arrivée. Pas plus tard qu’hier, ma maitresse m’a offert un cadeau. Trois magnifiques petites balles. Elles les posent devant moi, je les regarde avec étonnement. Quand soudain, je m’allonge devant afin de mieux les observer. Malheur, une de mes pattes poussent l’une d’elles. Elle se met à rouler en faisant une petite musique. Première réaction, je prends peur. La seule musique que connaissent mes oreilles pour le moment est le son du piano de ma maîtresse, quand elle joue. Mais aujourd’hui, ma maîtresse est avec moi, et la musique joue toute seule. Je vais aller la voir de ce pas, afin qu’elle m’explique ce qu’il se passe.

- Dis-moi maîtresse, pourquoi la musique joue alors que tu n’es pas derrière ton piano ?.

- Parce qu’il n’y a pas que le piano qui fait de la musique. Regardes et écoutes bien.

Celle-ci regarde et écoutes la maitresse avec attention.

Sophie prend la petite Tempête et la pose devant la balle. Celle-ci pousse maladroitement la balle avec sa petite patte.

Prise de peur, elle recule d’un bond. Toutefois, la curiosité était avec elle. Elle retente une deuxième fois mais cette fois avec le museau. Elle réussit.

Contente, elle recommence encore et toujours. Le jeu l’amuse tellement qu’on entend la petite balle toute la matinée. Quand soudain, celle-ci disparait. Tempête est en colère. Elle retourne tout ce qui se trouve dans son passage.

- Ce n’est pas la peine de te cacher toi, je finirais par te trouver.

Quand soudain,

Tempête a une idée….

- Et si elle était partie dormir la paresseuse….

La voilà qui se met à plat ventre afin de regarder sous le buffet.

- Eurêka, je vous ai trouvé les coquines. Non, rien n’échappe à Tempête le petit clown.

Celle-ci prend sa balle dans sa bouche et repart se coucher. Une fois les balles ranger, rassurée Tempête part faire une petite sieste.

Quelques minutes plus tard, celle-ci dort à point fermer.

Soudain, alors que le silence règne dans la maison une des balles plus maline que les autres décide de se distinguer. Elle commence à rouler afin de rejoindre ses amies.

- Dites, les copines si on faisait une surprise à Tempête.

Après tout, nous ne sommes pas plus bêtes que les humains.

Celles-ci commencent à gigoter dans tous les sens. Quand tout à coup, l’une d’elle aperçoit les casseroles sur la gazinière. Elle prend son élan, et saute sur l’une d’entre elle.

- Oh elles font de la musique aussi, c’est génial.

Heureuse et satisfaite de ses découvertes, celle-ci continue. Quand soudain, la voilà prise par la fatigue.

Maline, elle saisit les deux balles dans sa bouche, et les posent délicatement dans son lit.

- Vous, vous rester là ! je ne veux pas avoir à vous chercher une seconde fois.

Tempête se presse de faire un gros câlin à la maitresse. Une fois fait, hop au dodo. Quelques minutes plus tard Tempête à retrouver les bras de Morphée.

Histoire écrite par Sophie rabussier le 06.03.15

Tous droits réservés

2015

tempête mon amour

tempête mon amour

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22 février 2015 7 22 /02 /février /2015 09:14
Notre chatte Tempête qui vous dit bonjour avant sa scéance de gymnastique

Notre chatte Tempête qui vous dit bonjour avant sa scéance de gymnastique

Tempête veut faire de la gymnastique

 

 

Tempête est en forme ce matin. Une bonne gamelle de croquettes en guise de vitamines, et c’est partie pour passer une superbe journée.   Une fois terminée, elle tient à garder sa ligne. Pour y contribuer, un petit peu de gymnastique serait bienvenue.

- Allez pour commencer, je vais faire de l’escalade.  Hop, je saute sur le buffet. Ensuite, c’est au tour de l’armoire. Pour continuer,  je vais dans d’autres pièces. Quand soudain, je m’arrête brusquement… quelque chose de bizarre se passe.

Mon maitre est juste devant moi, sur le piano. Je regarde…. C’est bizarre, il ne bouge pas, ne parle pas. Je ne comprends pas. Je  viens de le voir partir et soudain à peine la tête tournée, le voilà devant moi. Intriguée par ce qu’elle vient de voir, elle tourne la tête dans tous les sens.

Je ne comprends rien, je vais lui poser la question :  

- dis-moi toi,  peux-tu me dires ce que tu fais là. Je t’ai entendu partir.

Tempête cherche la réponse à sa question….mais hélas sans succès. celle-ci se fait attendre. Quand soudain, un bruit de moteur de voiture se fait entendre. La porte s’ouvre, hourra mon maitre est rentré. Il sorti de la photo sans que je ne m’en aperçoive. Oh, il est fort mon maitre !

Tempête se tourne vers la photo, et dit :

- Là, il y a quelque chose que je ne comprends toujours pas !

- La prochaine que cela se reproduit, je ne te quitte pas des yeux. Je veux comprendre comment cela s’est passé.

 

Fatiguée par séance de gymnastique mouvementée, tempête saute sur son lit au-dessus de l’armoire. Elle se couche de tout son long, et s’endort pour la nuit.

 

Histoire  écrite par Sophie rabussier. Le 21.02.15

Tous droits réservés. 2015

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29 janvier 2015 4 29 /01 /janvier /2015 08:43
tempête veut jouer du piano

Tempête veut jouer du piano

 

Bonjour, je m’appelle Tempête. Je suis une petite chatte. Mon  pelage est noir et mes yeux sont verts. J’adore les câlins de mes maitres. Ils sont fous de moi. Ma maîtresse veut tout arrêter, pour rester à mes côtés. Moi, je refuse, il n’en est pas question. On peut trouver un terrain d’entente. Le matin, elle fait du piano. Ainsi mes oreilles se détendent, ensuite elle part travailler. Moi, pendant ce temps, je me dégourdie les pattes en allant voir les copains et chasser quelques souris. Dès que j’entends la voiture rentrer, je me précipite vers la maison. Ma maitresse est de retour, je vais pouvoir entendre de nouveau le piano. Dès que tout ce petit monde rentre, je me faufile dans ses jambes. Je l’embête sans cesse. Je veux qu’elle joue du piano. J’adore la musique. Les heures passent, aucun succès. Je ne me lasse pas, je continue. Quand soudain, celle-ci arrive et s’installe mine de rien devant ce piano. Enfin, elle a compris ce que je veux depuis tout le temps que je passe à faire le clown. Je m’installe confortablement dans le fauteuil qui se trouve juste à côté, et commence un petit somme. En revanche, lorsqu’elle s’arrête de jouer cela ne  me plait, pas. Je monte sur la table où se trouve le piano, et penche légèrement la tête au-dessus de la partition. Ainsi, je peux voir si je peux l’aider. Je la mettre ainsi en confiance, et elle recommencera à jouer. Je regarde le piano, et je veux le voir de plus prêt. Comme celle-ci hésite encore à jouer, Tempête décide de lui montrer comment fonctionne le piano. Elle monte sur le clavier, tout en regardant la partition et commence à jouer en marchant sur les notes.

- Tu vois, ce n’est pas compliqué. Si moi j’y arrive, toi aussi. C’est toi la pianiste, alors à ton tour.

Pour ne pas décevoir Tempête, la maitresse se remet à jouer. Heureuse et rassurée d’entendre de nouveau  le piano rejouer, la petite Tempête s’installe confortablement dans son fauteuil.  Soudain le piano s’arrête une fois de plus. Cette fois, très en colère, Tempête bondit sur le clavier du piano :

- Mais enfin, que faut-il faire pour avoir un peu de piano qui résonne dans cette maison.  Je veux m’endormir et m’endormir en musique.

Quelques instants plus tard,   un morceau de  piano résonnait dans la maison. Mais des ronflements l’accompagnaient.  C’est tout simplement Tempête rassurée qui ronflait en toute confiance.

 

Histoire écrite par Sophie rabussier

Le 28.01.15

Tous droits réservés

2015

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29 janvier 2015 4 29 /01 /janvier /2015 08:16

Tempête veut jouer du piano

 

Bonjour, je m’appelle Tempête. Je suis une petite chatte. Mon  pelage est noir et mes yeux sont verts. J’adore les câlins de mes maitres. Ils sont fous de moi. Ma maîtresse veut tout arrêter, pour rester à mes côtés. Moi, je refuse, il n’en est pas question. On peut trouver un terrain d’entente. Le matin, elle fait du piano. Ainsi mes oreilles se détendent, ensuite elle part travailler. Moi, pendant ce temps, je me dégourdie les pattes en allant voir les copains et chasser quelques souris. Dès que j’entends la voiture rentrer, je me précipite vers la maison. Ma maitresse est de retour, je vais pouvoir entendre de nouveau le piano. Dès que tout ce petit monde rentre, je me faufile dans ses jambes. Je l’embête sans cesse. Je veux qu’elle joue du piano. J’adore la musique. Les heures passent, aucun succès. Je ne me lasse pas, je continue. Quand soudain, celle-ci arrive et s’installe mine de rien devant ce piano. Enfin, elle a compris ce que je veux depuis tout le temps que je passe à faire le clown. Je m’installe confortablement dans le fauteuil qui se trouve juste à côté, et commence un petit somme. En revanche, lorsqu’elle s’arrête de jouer cela ne  me plait, pas. Je monte sur la table où se trouve le piano, et penche légèrement la tête au-dessus de la partition. Ainsi, je peux voir si je peux l’aider. Je la mettre ainsi en confiance, et elle recommencera à jouer. Je regarde le piano, et je veux le voir de plus prêt. Comme celle-ci hésite encore à jouer, Tempête décide de lui montrer comment fonctionne le piano. Elle monte sur le clavier, tout en regardant la partition et commence à jouer en marchant sur les notes.

- Tu vois, ce n’est pas compliqué. Si moi j’y arrive, toi aussi. C’est toi la pianiste, alors à ton tour.

Pour ne pas décevoir Tempête, la maitresse se remet à jouer. Heureuse et rassurée d’entendre de nouveau  le piano rejouer, la petite Tempête s’installe confortablement dans son fauteuil.  Soudain le piano s’arrête une fois de plus. Cette fois, très en colère, Tempête bondit sur le clavier du piano :

- Mais enfin, que faut-il faire pour avoir un peu de piano qui résonne dans cette maison.  Je veux m’endormir  en musique.

Quelques instants plus tard,   un morceau de  piano résonnait dans la maison. Mais des ronflements l’accompagnaient.  C’est tout simplement Tempête rassurée qui ronflait en toute confiance.

 

Histoire écrite par Sophie rabussier

Le 28.01.15

Tous droits réservés

2015

tempête notre petite chatte

tempête notre petite chatte

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9 mars 2014 7 09 /03 /mars /2014 00:00

Razemotte

 

 

Bonjour les amis, je m’appelle Razemotte, je suis une guêpe, et je viens vous perturber les méninges. Vous aimez votre tranquillité ?. Avec moi, vous la perdez je vous l ‘assure. N’importe où que vous soyez, je vous retrouve. Je suis là, et toujours là ! Je deviens le cauchemar de votre vie. Je vous hante nuits et jours. Vous voudriez que je disparaisse, mais impossible, je suis encore et toujours là ! Vous finissez par me détester ! Mais cela ne fait rien, j’aime être là à vous empoisonner la vie. Je vous tourne autour, et cela vous énerve !

 

Peu importe, moi j’aime cela et ça me fait rire. Là où je ris un peu moins, c’est lorsqu’une chaussure arrive pour bouleverser mon plaisir. Elle n’a qu’un but, abréger ma pauvre vie. Moi qui n’ai rien demander à personne. Je voulais simplement m’amuser un peu. Tant pis pour les individus sans humour, je préfère les laisser de côté, et tenter de sauver ma peau tant qu’il en ai encore tant.

Soudain, changement de programme, une avalanche de chaussures se met à ma poursuite. Je suis à bout de souffle ! Finalement, cela tombe bien, figurez-vous que depuis quelque temps je n’avais plus la possibilité de faire du sport. Un peu de course à pieds, ne peut pas me faire de mal. Il se trouve que j’ai quelques kilos à perdre !

 

Toutes les chaussures se jètent sur la pauvre Razemotte.

« Mais enfin, que m’arrives-t-il pour que tout le monde me déteste autant ? Je ne suis pourtant qu’une simple petite guêpe ne comprends pas pourquoi tant de haine envers moi!  »

 

Soudain, un homme passe par là. Cet individu n’est pas comme les autres. Il comprend le langage animal. Il peu même les interpréter.

Quand tout à coup, il entend Razemotte se plaindre. Il se dirige vers elle, et lui demande: «Eh bien ma petite Razemotte, que t’arrives-t-il ?»

 

- Oh mais tu comprends ce que je dis ? 

-  Oui bien sûr ! Je suis traducteur de langage d’animaux. 

- Hourra les amis ! Je suis sauvé, je ne suis plus seul au monde. J’ai enfin trouvé une personne qui parle le même langage que moi. 

 


La petite Razemotte est rassurée et contente. Elle se sent enfin comprise. Le monde ne lui sera plus indifférent, on ne l‘ignorera peut-être plus.

 

 

Histoire écrite par Sophie Rabussier

Tous droits réservés

2010

 

 

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 00:00

Croque noisette le petit écureuil

 

- Bonjour, je m’appelle croque noisette. Je suis un petit écureuil. On me reconnaît à mon joli pelage roux, mes yeux ronds couleur ébène et mes longues quenottes qui passent leur temps à croquer les noisettes. J’occupe la plupart de mes journées à escalader les arbres, courir dans les pelouses. Je suis très gourmand et surtout prévoyant. Je passe des heures entières, à la recherche de provisions pour l’hiver. Des feuilles et de la paille m’intéressent

- L’animal qui va m’attraper n’est pas encore né…..

- C’est très amusant de courir à travers les pelouses. Seulement c’est aussi si fatiguant, qu’il me faudrait bien faire une petite sieste.

Croque noisette marche encore quelques temps, bien que ses petites pattes commencent à lui faire affreusement mal.

- Ou, là, là, il va vraiment falloir que je songe à m’arrêter. Mes petites pattes me font si mal, que je ne peux plus avancer un orteil.

Soudain, Croque noisette s’arrête.

- Mais que vois-je ?

- On dirait un petit sentier ombragé…… j’en ferais bien ma cachette à nourriture. Personne n’aura l’idée de venir me voler mes provisions ici. 

Croque noisette s’empare de son panier rempli de denrées, et court le déposer dans sa cachette.

Quand tout à coup, une invasion de petits lapins et de fouines se précipitent sur ce pauvre Croque Noisette.

- Donne -nous tes provisions. On a faim, on n’a rien mangé depuis deux jours !

- Ah ça par exemple sûrement pas !

- Vous n’avez qu’à vous faire votre panier à provisions vous-même.

Fâché Croque noisette s’empare de son panier et part se trouver une autre cachette.

- Non mais ! S’ils croient qu’ils vont prendre ma nourriture comme ça, sans que je dise quoi que ce soit, ils peuvent toujours rêver.

Dans les rêves, tous les coups sont permis. Quant à la réalité, c’est autre chose…..

Croque noisette charge sa nourriture sur son dos, et le voilà repartie durant de longues heures à la recherche d’une autre cachette.

Il cherche, cherche durant des heures entières.

Deux heures plus tard, Croque noisette s’arrête. Il n’en peut plus. Impossible pour lui de faire un pas de plus. Ses petites pattes refusent d’obéir.

- Je vais être obligé de dormir ici, au risque de me faire dévorer.

- Oh, oh je crois bien que j’ai entendu un grognement d’ours.

 

- Sauve qui peut !

 

- A l’aide, on veut me dévorer

 

Soudain, l’ours s’arrête net…….

 

- Mais c’est un microbe ! Mes yeux me font

défaut.

 

 

-J’aurais tout juste de quoi prendre un encas avec lui.

 

Contrarié, l’ours jette le pauvre Croque

Noisette à travers le sentier.

 

- Ouh aie aie, ça fait mal. Je vais peut être m’en tirer avec quelques bleus et bosses, mais au moins j’aurais la vie sauve.

 

Croque noisette était content, il allait souffrir

durant quelques jours avec ses bleus et bosses mais monsieur l’ours l’avait épargné.

 

Histoire écrite par Sophie Rabussier

Tous droits réservés

2011

 

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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 00:00

Croque noisette le petit écureuil

 

- Bonjour je m'appelle Croque noisette. Je suis un petit écureuil. On me reconnait à mon pelage roux, mes yeux ronds couleur ébène et mes longues quenottes, qui passent leur temps à croquer les noisettes. J'occupe la plupart de mes journées à escalader les arbres, courrir dans les pelouses. Je suis très gourmand et surtout prévoyant. Je passe des heures entières à la recherche de provisions pour l'hiver.  Des feuilles et de la paille m'intéressent.

 

- L'animal qui va m'attraper, n'est pas encore né !

- C'est très amusant de courrir à travers les plouses ! Seulement c'est aussi si fatiguant qu'il me faudrait bien faire une petite sieste....

 

- Où là, là, il va vraiment falloir que je songe à m'arrêter. Mes petites pattes me font si mal, que je ne peux plus avancer un orteil !

 

- On dirait un petit sentier ombragé, j'en ferais bien ma cachette à nourriture. Personne n'aura l'idée de venir me

voler mes provisons ici.

 

Croque Noisette s'empare de son panier et court y déposer le panier rempli de denrhées.

 

Quand tout à coup, une invasion de petits lapins se précipitent sur ce pauvre Croque noisette.

 

- Donne nous tes provisions. On a faim, et on a rien mangé depuis deux jours !

 

- Ah ça par exemple sûrment pas !

- Vous n'avez qu'à faire votre panier à provisions vous même !

 

Fâché, Croque Noisette s'empare de son panier et part se trouver une autre cachette.

 

- Non mais ! S'il croit qu'il va prendre ma nourriture comme ça, sans que je dise quoi que ce soit, il peut toujours rêver !

Dans les rêves tous les coups sont permis ! Dans la réalité, c'est autre chose....

 

Croque Noisette charge sa nourriture sur son dos,  et le voilà reparti  durant de longues heures à la recherche d'une autre cachette. Il cherche des heures entières, mais ses petites pattes faiblissent de plus en plus.

 

  Deux heures plus tard, Croque Noisette n'en  peut plus.... ses petites pattes s'arrêtent.

 

- C'est décidé, je vais dormir ici !

- Mes pattes me font vraiment souffrir ! 

- Au risque de me faire dévorer, je vais dormir ici. Tant pis, je tenais pourtant à la vie.  

 

Soudain, Croque Noisette dresse l'oreille....

 

- Je crois bien que j'entends des grognements d'ours.....

- Sauve qui peut !

- A l'aide, on veut me dévorer !

 

Quand tout à coup, l'ours s'arrête....

 

- Mais c'est un microbe ! Mes yeux me font défaut. J'aurais à peine de quoi prendre un encas avec lui !

 

contrarié, l'ours jette le pauvre Croque Noisette à travers le sentier.

 

- Ouh, aïe,ça fait mal. Je vais peut-être m'en tirer avec quelques bleus et bosses, mais au moins j'aurais la vie sauve.

 

Croque noisette était content. Il allait souffrir durant quelques jours avec ses bleus et bosses, mais au moins, il avait la vie sauve. 

 

Histoire écrite par Sophie Rabussier

Tous droits réservés

2011

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23 août 2011 2 23 /08 /août /2011 00:00

Le chien abandonné,

 

gif chien

 

Il était une fois, un petit chien qui répond au doux nom de « Cachou ». Un jour, il décide de dormir tout seul, comme un grand dans sa propre niche. Il se met à s’aménager un beau petit nid douillet, afin que tout soit prêt pour ce soir.

Ce sera sa première nuit en solitaire, vive l’indépendance. Il est si content, qu’il se couche très tôt, afin de profiter de cette belle et très longue nuit.

 

«  Ah, à moi la belle vie, j’ai ma propre niche et je peux faire ce que je veux. Je m’étale dans mon lit, personne ne me reproche quoique ce soit. »

Cachou se couche et s’endort tout de suite, d’un sommeil très profond. Il dort si bien, que tout à coup, il est pris par des ronflements si forts, que les murs de la niche se mettent à trembler.

Une fois passe, personne ne dit rien. Le silence est de nouveau parmi nous. Tout à coup Cachou se rendort si profondément, qu’il en oublie tout ce qu’il s’est passé auparavant. Les ronflements sont de retour.

 

« ron pich, ron pich, »

 

Toute la nature est réveillée par les ronflements fracassants de Cachou. Tout à coup, la niche perd patience et décide que tout ce vacarme doit cesser. Que l’on retrouve à nouveau le calme.

Elle gonfle le matelas de Cachou et décide de l’éjecter.

 

« Allez hop, dehors, il y en a marre. Les ronflements, je ne supporte plus. »

 

Cachou, se réveille brusquement par la fraîcheur de la nuit. Il ne comprend pas ce qu’il avait pu faire pour se retrouver là.

 

« Je suis un pauvre chien abandonné, je suis obligé de dormir au froid. » Le pauvre Cachou se rendort juste à côté de la niche, mort de froid.

 

« bouh, j’espère que cela ne va pas durer longtemps. Il faut que je trouve une solution et vite. »

 

Il se rendort du mieux qu’il peut tremblant de froid.

 

Le lendemain, il décide de retourner dans sa niche. La porte était fermée, les volets aussi. Tout le monde dormait.

D’un seul coup, la niche se réveille et dit: « j‘ai entendu du bruit, ah, c’est toi Cachou, tu as bien dormi ? »

 

« Non, j’ai eu si froid, que je n’ai pas dormi beaucoup. J’aimerais bien revenir ce soir. »

 

La niche répond: «  je veux bien que tu redormes avec moi, il faut que tu me promettes de ne plus ronfler. Tu m’empêches de dormir. »

 

Cachou heureux que sa niche veuille bien le reprendre promet de ne plus ronfler du tout. Ou au moins essayer.

 

écrit par Sophie Rabussier

tous droits réservés

2010

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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 11:33

 

Kalikou, le petit âne dit  des gros mots,

 

 

Il était une fois un petit âne, qui s’appelait Kalikou.  Par un soleil radieux, il décide de faire une promenade. Sur le chemin, Kalikou s’ennuie, alors il décide de jouer à un jeu.

«  tiens, je suis tout seul, mes amis ne sont pas là. Je peux faire ou dire ce que je veux.  Il commence à dire quelques gros: «zut, crotte de bic, patate pourrie, vas te faire voir.»

 

Une somme de gros mots inimaginable sortent de sa bouche. Chaque fois qu’il en disait, cela l’amusait. Tout à coup, alors, il était partit dans son élan, il se met à grossir, de plus en plus. Chaque fois que Kalikou disait un gros mot, il grossissait. Le petit âne prend peur et ne saitpls quoi faire.

« oh, là, mais qu’est-ce qu’il m’arrive, je grossie de plus en plus. Je ne comprends pas.»

 

C’est alors qu’il décide d’aller rendre visite à Christelle la chatte sa meilleure amie.

Kalikou arrive chez son amie Christelle tout apeurer et lui dit :

« bonjour,Christelle, je suis venue te voir parce que j’ai besoin de ton aide. »

« bonjour,  Kalikou qu’est-ce qu’il t’arrive ? »

« je ne comprends pas ce qu’il se passe, je ne fais que de grossir depuis le début de ma promenade. » 

Christelle voulait aider son ami, elle cherche à en savoir un peu plus.

« mais enfin, que se passe t-il, on ne grossi pas sans raison. Tu as fais quelque chose pour que cela arrive. »

Kalikou répondit d’un ton sûr de lui: « ah non, je t’assures, j’ai été sage depuis ce matin. »

Christelle qui connaissait bien Kalikou, lui demande: «tu n’aurais pas dis quelques gros mots en te promenant par hasard, comme à ton habitude ? »

Kalikou devient tout rouge et répond: « oh, juste quelque uns pour me passer le temps sur le chemin de ma promenade » 

Christelle le regarde et lui dit: «  eh tu vois maintenant, tu es puni. Maintenant, débrouilles toi tout seul !

Trouves un moyen par toi-même afin de te sortir de là tout seul. En aucun cas, j’aiderais un vilain garnement comme toi à se sortir d’une bêtise qu’il peut se sortir seul. »

 

Contrarié, le petit Kalikou, décide de repartir seul, si peiner que plus un seul mot ne sort de sa bouche.

Il arrive enfin dans sa maison, et la grande surprise il avait maigri.  

 

Histoire écrite par Sophie Rabussier

Tous droits réservés

2011             

 

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 15:34

 

Petit Pataud

 

 

Il était une fois, un petit chien qui s’appelait « Pataud ». Il était revêtu d’un délicieux pelage doré. Il avait une petite tête toute ronde, et des yeux noirs comme l’ébène. Quand il sortait, il faisait sensation dans tous les endroits qu’il se rendait. Les personnes qui croisaient son chemin, n’en revenaient pas. Petit Pataud avait plusieurs dons: il parlait, chantait et dansait.

 

Un jour, par un soleil éclatant, Pataud décide de faire un spectacle.

« Mesdames et messieurs, bonjour. En cette période de fêtes, j’ai voulu vous divertir en vous faisant découvrir une de mes passions. »

« Je vais vous interpréter une chanson. Ou plusieurs si vous le souhaiter.»

 

Le public qui adorait la jolie de Petit Pataud, se précipite sur lui et l’acclame à cor et à cri.

« Oh oui Pataud, chante nous une chanson. »

 

Petit Pataud commence à chanter:il était un petit navire……. Quand soudain, il s’arrête net ! Impossible de continuer. Petit Pataud avait perdu sa voix.

Il essaye encore: «Il était un….» Impossible. Pataud n’avait vraiment plus rien. Pas même un petit brin de voix ne sortait de sa bouche.

« Oh là, là, mais comment vais-je faire ? »

« Mon spectacle de ce soir est fichu ! »

 

Quand tout à coup, il a une idée: «Et si j’appelais mon amie Petite Fleur ? Elle a toujours des bonnes idées ! Peut-être arrivera-t-elle à me tirer d’affaires !»

 

 

 

Ecrit par Sophie Rabussier

Tous droits réservés

2010

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