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26 juillet 2014 6 26 /07 /juillet /2014 00:00

Praline et l’usine de bonbons

 

 

Bonjour les enfants, aujourd’hui, je vais vous emmener visiter mon usine à bonbons. Je vais vous montrer comment elle fonctionne. Praline entre dans un grand hangar, il y avait pleins de machines toutes aussi drôles les unes que les autres.

« Oh hisse, ce que c’est haut !!! »

« Ce n’est pas drôle d’être petite, on ne fait pas toujours ce que l’on veut ! »

Elle tourne le bouton et hop la machine démarre. Une grosse pâte rose gluante en sort. Une délicieuse odeur s’en échappe.

 

A peine a-t-on fait un pas, que l’on était attiré par l’odeur. Une seule idée nous obsédait, découvrir le reste.

Tout d’abord, la pâte est toute liquide, ensuite après quelques instants de repos, elle devient de plus en plus malléable. C’est alors que notre Praline a une idée.

« Tiens, et si je faisais une surprise aux enfants. Je vais entrer à l’intérieur du bonbon, et à l’instant où ils me mettront dans leur bouche, je leur ferais une petite surprise en montrant mon nez !  »

 

C’est alors que Praline grimpe sur le tapis roulant et se laisse enrouler dans la pâte à bonbons.

 

« Oh là, là, si j’ai la chance de revenir vivante, que je ne suis pas mangée avant, il faudra que je fasse quelque chose pour être moins secouée! »

 

« La voilà qui monte sur le tapis roulant, et se glisse dans la pâte à bonbon »

 

« Hum ! Ça sent drôlement bon ! »

 

Quand soudain, la machine s’affole !!!! Praline avait pourtant pensé à prendre la télécommande mais brusquement alors qu’elle avait à peine pénétrer dans la pâte la machine accélère !!!!

 

« Eh oh, toi tu ne dois pas démarrer sans que je ne te l’ai dit ! »

 

Précipitamment, elle appuie sur sa télécommande. La machine s’arrête. Praline est éjectée.

 

« Ouf !!! Je l’ai échappé belle, j’ai failli être broyée ! »

 

« Bon, alors, après toutes ces, péripéties, j’ai pris du retard  »

 

« Aujourd’hui, j’ai beaucoup de commandes à faire. J’en ai que je dois recevoir. Certains clients doivent venir en chercher, et je ne pourrais pas leur donner parce qu’elles ne seront pas terminées. »

 

Notre Praline court partout tant elle ne sait plus où aller en premier. Il y avait tant de travail inachevé, que notre Praline se sentait légèrement perdue. Quand soudain, elle sent une poussée d’énergie l’envahir.

 

« Ah, je sens tout à coup que je vais rattraper tout le travail que j’avais en retard jusqu’à maintenant ! »

 

Elle court d’une pièce à l’autre, les bras chargés de gros cartons remplis de bocaux de bonbons. Une fois tous les paquets transportés, elle regarde partout pour voir si elle n’en n’avait pas oublié. Zut, elle aperçoit qu’il en restait un au-dessus d’une grande étagère.

 

« Ah, c’est bien moi ça ! »

 

« Qu’est-ce que j’ai bien pu mettre un carton aussi haut. Comment vais-je aller le chercher. Il faut encore monter sur une chaise. »

 

Elle monte encore chercher ce dernier carton, il était rempli de toutes sortes de colorants pour pâte à bonbon.

 

Elle les ouvre tous un par un et se met à faire des mélanges, essayant de trouver chaque fois de belles et nouvelles couleurs.

 

Tout à coup, le meuble où Praline venait de monter chercher le carton se met à bouger.

De nombreux petits loirs étaient venus se réfugier au chaud dans le carton. Ayant été réveillé par le bruit, les voilà qui se mettent tous à courir à travers la pièce.

Praline regarde ses copains courir désespéramment sans savoir où aller et dit: « Alors les copains, que se passe-t-il ? On a peur ? »

 

« Ben, un peu! »

 

« Oh mais tu sais, on n’a pas si peur que ça quand même. Nous la foule, les inconnus on a l’habitude. »

 

Les petits loirs ne voulaient pas montrer à quel point il avait peur. Ils décident alors de faire les courageux.

 

« Eh bien, si vous êtes si courageux que ça, vous allez m’aider dans mon usine. Finalement, cela tombe très bien, j’ai besoin de mains supplémentaires. C’est un peu juste tellement il y a de travail.

 

Les petits loirs se regardent et disent: 

 

«Ah, mais nous on veut bien venir t’aider. »

 

Heureuse, Praline accepte tout de suite.

 

« Ah, c’est avec plaisir que je vous accepte. »

 

« Quand pouvez-vous commencer ? »

 

« Maintenant, si vous voulez ! »

 

Les petits loirs se mettent immédiatement à l’œuvre. Praline est heureuse, son usine bat son plein. A la fin de la journée, la petite Praline est heureuse tout le retard qu’elle avait pris était rattraper et elle avait de l’avance pour le lendemain.

 

Histoire écrite par Sophie Rabussier

tous droits réservés

2013

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