Youpi, c’est la rentrée des classes
Aurélia est toute excitée ce matin, c’est la rentée des classes. Elle entre à l’école primaire. Elle est heureuse, elle va apprendre à lire.
« Je vais savoir lire et écrire comme les grands. Mes parents et mes amis ne pourront plus me dire que je suis encore petite. Ensuite, en sachant lire, je pourrais m’évader tous les jours. Je trouve cela drôlement bien, de partir en vacances tout en lisant une histoire. »
« Nous pouvons aussi faire travailler notre imagination. Lorsqu’on devient plus grand, on peut remarquer une chose drôlement intéressante. Savoir lire et écrire sert aussi à remplir les chèques avant de les mettre sur son compte pour s’acheter des bonbons. Non vraiment, je ne reviens pas sur ma décision, il faut vraiment aller à l’école nous y apprenons trop de belles choses intéressantes.
J’ai aussi remarqué une chose très intéressante, que je pense adorer par la suite. La récréation, c’est un moyen d’attirer les enfants drôlement intéressants. On se fait de nouveaux copains, des copines aussi. Les activités sont très captivantes, très instructives aussi. En y réfléchissant bien, nous avons tout intérêt à faire la rentrée des classes. Nous louperions trop de choses, la vie est si courte. Je pense que l‘on doit en profiter chaque seconde.
Heureuse, Aurélia s’empresse d’entrer dans la salle de classe. Elle est très enthousiaste. Ce soir, en rentrant chez elle, saura lire. Aurélia ouvre grands ses yeux et ses oreilles, et ne rate pas une parole de la maîtresse. Chaque question posée par la maîtresse, Aurélia donne la bonne réponse. Elle est fière, et contente. Elle apprend beaucoup de choses. Quand dans l’après-midi, tout se complique. La maîtresse n’a plus de mémoire. Elle pose sans arrêt des questions. Aurélia n’en revient pas:
« Mais que lui arrive-t-il tout à coup ?. Voilà que la maîtresse ne connaît plus rien, nous sommes obligés de tout lui dire. »
Quelque temps plus tard, arrive l’heure des mathématiques. Aurélia ouvre son livre. Horreur, toutes les pages sont remplies de chiffres. Elle ne comprend rien. Elle commence à paniquer quand la maîtresse arrive et lui dit: «Pas de panique, je suis là. Je vais t’expliquer»
Aurélia regarde la maîtresse d’un air rassuré, et dit: « finalement, cela vaut peut-être le coup d’aller à l’école la maîtresse sait des choses, mais il faut revenir chaque jour pour le découvrir. Mais je vous en prie, les amis, faites comme moi. Revenez demain, ne me laissez pas toute seule.
Histoire écrite par Sophie Rabussier
Tous droits réservés
2010